Chéneau et gouttière : Faites la différence !

01/10/2020 Non Par admin
Chéneau et gouttière : Faites la différence !

Le toit, pour permettre une bonne évacuation d’eau, inclut des parties architecturales différentes qui ont leurs rôles respectifs. Pour les distinguer, ou notamment, comprendre l’importance de chacune d’elle dans la bonne fonctionnalité et durabilité de la toiture, quelques orientations s’imposent. Dans cet article sera évoqué les rôles principaux des chenaux et des gouttières, qui porte à confusion chez tous les propriétaires. Nous avons ainsi regroupé les définitions, les utilités et les avantages afin de relater leur différence.

La ressemblance : Ils canalisent les eaux de pluie

Éliminez toute confusion en s’adressant aux meilleurs conseils de artettoiture.com, une des entreprises de référence pour des travaux de toitures. Par ailleurs, lorsqu’on parle de chéneau ou gouttière, on entre dans la définition d’un instrument permettant au toit d’évacuer les eaux pluviales ou autres écoulements ponctuels. Posées aux abords d’une toiture notamment du côté latéral et à la base de la toiture, les deux installations permettent de récolter les ruissellements afin de canaliser les eaux de pluie. Une technique qui préserve la façade et l’ensemble des structures environnantes d’une éventuelle humidité permanente. Mais leurs rôles dans l’étanchéité de la toiture sont également évoqués.

La ressemblance : Ils sont conçus par de mêmes matériaux

La distinction semble un peu floue ! Par ailleurs cheneau comme gouttière sont conçus à partir des matériaux métalliques. Zinc, acier, inox ou cuivre, des matériaux connus de leur résistance aux intempéries et notamment l’humidité. De cette manière, ils sont les produits des véritables travaux de zingueries. Tous comme les accessoires d’étanchéité et d’évacuation de la toiture comme les corniches, les gouttières, les solins ou les faitières, c’est une conception à totalement différencier des arts de la pose des couvertures.

La différence : Une installation différente l’une de l’autre

Des panoplies de définition qualifient le chéneau comme une structure intégrée à la toiture. Partie invisible de la toiture, elle s’installe entre deux pans de toiture et recueille les eaux de pluie du côté de la faitière et sur le point de ralliement latéral des pans opposés. Incliné verticalement, le chéneau est ainsi destiné à canaliser les eaux vers la gouttière. Cette dernière est caractérisée par la canalisation, installée à la base de la toiture et qui est relié à une autre conduite verticale acheminant l’eau vers le bas. Il n’est pas toutefois rare que le chéneau se trouve à la base, mais le fait qu’il s’intègre à la toiture lui différencie largement à la gouttière.

Utilité : Que choisir entre gouttière et chéneau ?

Il est à rappeler que la gouttière est une version réinventée du chéneau. Les experts des architectures ont entre autres jugé le chéneau comme une installation difficile d’accès pour les entretiens, facilement obstruées ou propices à la fuite et semble être rudimentaire. Toutefois, leur atout esthétique reste indéniable. En effet, le fait qu’il s’intègre réellement à l’ensemble de la toiture, il n’occasionne aucun confort visuel et reste discret tout en assurant ses rôles d’évacuations. À chacun alors de juger ses préférences !